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La nymphoplastie, la chirurgie de réduction des petites lèvres

La nymphoplastie est l’une des opérations classiques de la chirurgie intime qui consiste à réduire les petites lèvres. Cette intervention permet de traiter, en effet, un problème d’ordre fonctionnel plutôt qu’esthétique afin de faire éviter à la patiente des douleurs et gènes handicapantes au quotidien.

En raison de ses résultats satisfaisants, la nymphoplastie est de plus en plus convoitée par les médias et personnes qui s’intéressent à la chirurgie esthétique intime. Toutefois, il y a plusieurs détails à éclaircir la-dans, notamment le rapport entre l’utilité fonctionnelle et l’aspect esthétique de cette opération.

L’Agence AphroMed, qui vous accorde la possibilité de planifier un séjour chirurgical tout frais inclus pour réaliser votre réduction des petites lèvres, vous dévoile tous les détails nécessaires à savoir avant de passer à l’acte.

Généralités

La nymphoplastie est le nom médical de la labioplastie qui définit la chirurgie destinée à la réduction des petites lèvres. On l’appelle également « labiaplastie ».

Comme vous l’aurez bien compris, ladite opération traite le problème de développement massif des petites lèvres (nymphes), un phénomène qui s’accélère généralement durant la puberté ou suite à plusieurs accouchements. Cependant, plusieurs femmes souffrent de cette hypertrophie dès leur naissance. Une fois la ménopause passée, les petites lèvres commencent à se cacher derrière les grandes lèvres.

L’hypertrophie des nymphes peut causer plusieurs soucis fonctionnels à la personne qui en souffre, en particulier lors d’un développement dit avéré (petites lèvres de plus de 4cm) causé par une imprégnation des hormones lors de la puberté. Ces problèmes se ressentent lors d’un exercice physique, d’une relation sexuelle (rentrée du tissu) ou au niveau du port de vêtement intime (culotte, maillot de bain).

Il faut savoir que les petites lèvres, cachées dans la vulve, contiennent des terminaisons nerveuses et follicules sébacés très fragiles. Elles font 3cm de longueur ce qui fait que leur hypertrophie est désagréablement vécue. La nymphoplasie intervient, dans ce cas, pour améliorer la vie intime et sociale de la femme en question.

L’acte chirurgical consiste à extraire l’excès cutano-muqueux se trouvant dans cette zone pour y rétablir sa symétrie. Il est difficile de définir la candidate idéale pour la labioplastie, puisque cela dépend du vécu propre à chaque femme, mais l’opération est plus ou moins ouverte à toute adulte qui a des nymphes trop développées et qui en souffrent. L’opération apporte donc une satisfaction à la fois esthétique, intime et fonctionnelle.

Les consignes pré-opératoires

A l’instar de toutes les chirurgies esthétiques, une consultation pré-opératoire avec le chirurgien est obligatoire. Dans le cadre de la nympholastie, un bilan sanguin et examen gynécologique sont exigés pour définir le degré de l’hypertrophie à traiter et les soucis de symétrie. Ce rendez-vous permet d’examiner la quantité de muqueuses en excès au niveau des petites lèvres.

Vous devez en profiter également pour poser toutes les questions qui vous passent par la tête à votre chirurgien afin de mieux définir vos attentes quant à l’opération. Autre que ces examens médicaux, une suite de recommandations vous sera communiqué comme :

• L’arrêt du tabac avant un moins au moins de la date de l’opération.
• S’abstenir à la prise de médicament contenant de l’aspirine durant les 10 jours qui précèdent l’acte.
•Venir à jeun d’au moins 6 heures le jour J.

Vous aurez également au programme une consultation avec l’anesthésiste 48h au maximum avant de passer sous le bistouri.

Déroulement de l’intervention

Une labioplastie dure entre 45 minutes et une heure et on distingue entre deux techniques pour la réaliser.

La nymphoplastie longitudinale

Le chirurgien exerce une réduction des petites lèvres en coupant dans la longueur la partie en excès, avant de faire de sutures à l’aide de fils résorbables. Il s’agit d’une simple technique qui garantit un excellent résultat, notamment en vue de réduire au maximum les nymphes dans le cas d’une hypertrophie avérée. Le résultat est, cependant, moins naturel puisqu’on va retirer le bord libre coloré des petites lèvres.

La nymphoplastie triangulaire

Cette technique offre un résultat plus naturel puisqu’elle va préserver les plis de la lèvre et leur anatomie spécifique. Pour ce faire, le chirurgien extrait un triangle sur la moitié postérieure de la zone où il a localisé un excès de muqueuses. Les nymphes gardent ainsi leur couleur et leur épaisseur sur toute leur longueur.

En revanche, cette technique ne peut pas traiter, le cas échéant, un capuchon volumineux du clitoris. La période de cicatrisation à la suite de l’utilisation de la technique du lambeau (triangulaire) est plus longue que celle de la technique longitudinale. C’est justement lors de la consultation pré-opératoire que le choix de la technique à utiliser sera fait après en avoir discuté avec votre chirurgien.

Résultat, suites opératoires et complications

A la suite de votre séance de nymphoplastie, des antalgiques vous seront prescrits pour calmer les petites douleurs ressenties durant les premiers jours. Un œdème et un léger saignement peuvent avoir lieu où Il est tout à fait normal de ressentir une gêne à la marche pendant ce temps-là. Vous devez prévoir un congé de votre travail pour une période qui peut aller jusqu’à une semaine. Vous êtes appelés à réaliser une toilette intime après chaque miction. Il est préférable de porter des sous-vêtement en coton et non serrés et d’utiliser un coussin de périnée si vous comptez rester assise longtemps. En ce qui concerne le sport, les rapports sexuels, les bains et les vêtements serrés, il faut attendre au moins un mois, voire six semaines jusqu’à ce que vos petites lèvres cicatrisent complétement. Alors que le résultat est immédiat, il faut néanmoins attendre deux à trois mois pour apprécier le résultat définitif et ressentir ce confort physiologique et psychologique. Il est rare d’avoir des complications à la suite d’une labioplastie, tel est le cas de toute autre chirurgie esthétique. Il est, toutefois, possible d’avoir des saignements, des hématomes, des défauts de cicatrisation ou des infections. Votre chirurgien vous informera de tous ces risques avant l’intervention et vous prescrira des antibiotiques qui vous aideront à prévenir toute forme de complications.

Le résultat d’un lipofilling facial

’effet de l’injection de graisse sur le visage se voit immédiatement, tandis que le résultat final s’observera au bout d’un mois. Le grand avantage de cette technique est son aspect 100% naturel : vous augmentez le volume de votre visage et vous supprimez les rides par l’injection de votre propre graisse, c’est-à-dire sans faire appel à un élément externe de votre corps ou une incision douloureuse. Après quelques années, il est recommandé de refaire le lipofilling pour garantir un résultat plus durable.
Tarif de l'intervention

Nymphoplastie

3 jours et 2 nuits

1490 €
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Les questions les plus fréquentes sur le lipofilling du visage

Il y a une tendance à confondre entre l’acte de réduction des petites lèvres et le fameux point G. En effet, bien que la nympholastie améliore la qualité de la vie intime de la patiente, elle n’a en aucun cas l’augmentation du plaisir féminin comme premier objectif. L’opération est destinée plutôt à corriger un problème fonctionnel empêchant à la femme des gènes à la marche ou à porter certains vêtements.

Cette décision est prise lors du rendez-vous entre la patiente et l’anesthésiste. Certaines femmes préfèrent l’anesthésie générale, alors que d’autres optent pour l’anesthésie locale avec ou sans tranquillisants.

La nymphoplastie est réalisée en ambulatoire, ce qui signifie que vous sortez de la clinique le jour même de l’opération. Il est toutefois possible, mais rare, qu’une nuit d’hospitalisation soit demandée.

Il y a trois cas qui peuvent interpeller une imperfection du résultat de la labioplastie. Ça peut arriver lorsqu’un défaut de symétrie est constaté après l’opération, lorsque le prolongement antérieur persiste encore ou lors d’une résection insuffisante. Dans ce cas, une deuxième intervention de correction sera effectuée au bout d’un an.

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